L’impact des émotions sur les organes

La naturopathie évoque peu l’impact des émotions sur les organes. On retrouve cette thématique davantage dans d’autres médecines traditionnelles, notamment dans la médecine chinoise. Aujourd’hui, on s’intéresse à l’impact sur les organes de toute la sphère psychique et émotionnelle. En effet, même si les organes peuvent être fragilisés en fonction de l’hygiène de vie, l’alimentation, l’environnement, etc. les émotions jouent un rôle très important sur la bonne santé et l’efficacité des organes. Certaines émotions ressenties de manière chronique, surtout si elles sont intenses et non extériorisées, peuvent finir par fragiliser les organes qui sont liés. Ainsi, cela peut provoquer divers symptômes physiques. C’est le fameux lien psychosomatique : quand le psychisme agit sur le soma (le corps). Si l’origine de vos maux est psychosomatique alors les compléments seront uniquement une béquille. Il vous manquera la clé pour la résolution de vos problèmes. Dans cet article, je vous propose donc de parler de l’impact des émotions sur les organes, c’est parti !

Le foie et la colère

Le foie est un des organes les plus importants en médecine traditionnelle chinoise et en naturopathie. En effet, il gère toute la partie filtration. Il permet le nettoyage et l’élimination des toxines. Aussi, il dirige tous les organes émonctoires.

En médecine traditionnelle chinoise, le foie est rattaché à l’émotion de la colère et de la frustration. Cela implique qu’une colère ressentie de manière chronique pourra altérer le bon fonctionnement de votre foie.

À l’inverse, un foie qui a tendance à être surmené par ce travail d’élimination des toxines, pourra favoriser les états de colère et de frustration. Ce sera le cas notamment lorsqu’il va manquer de certains nutriments et antioxydants, qui permettent un processus optimal de détoxification.

Impact de la colère sur le corps

Une étude publiée en 2014 et intitulée « Bodily Maps of emotions » a présenté une carte représentant les émotions au niveau du corps. À travers cette étude, on a pu voir que dans le cas de la colère, toute l’énergie du corps venait stagner dans la partie haute : du milieu du ventre jusqu’au sommet du crâne (y compris une chaleur intense au niveau des poings).

Vous avez déjà dû ressentir le besoin de taper dans quelque chose (comme un oreiller) durant un état de colère. On constate également une chaleur au niveau du foie, mais aussi des joues ! D’ailleurs, on le voit très bien lorsqu’une personne s’énerve, elle devient souvent toute rouge !

Dans la partie basse, l’énergie n’est quasiment plus présente. Il n’y a plus d’équilibre. Alors, l’objectif, c’est de libérer toute cette colère pour que le corps puisse se rééquilibrer.

Plus la température corporelle est élevée, plus la couleur devient jaune. Cela montre une accumulation d’énergie à un endroit qu’il va falloir évacuer, afin de retrouver un équilibre et éviter ainsi toute forme de somatisation (expression physique dans ton corps, au niveau des zones concernées).

Le simple fait de bloquer cette colère à l’intérieur de soi, c’est une accumulation d’énergie. C’est très mauvais ! Au lieu d’être répartie de manière uniforme, elle stagne à certains endroits et fragilise les zones en question.

Besoins et conseils en cas de colère

Il faut comprendre les besoins qui se cachent derrière la colère. En effet, les émotions sont un message pour vous dire que vous avez besoin de telle ou telle chose. C’est pour cela que je n’aime pas le terme « gérer les émotions ». Pour moi, les émotions doivent êtres pleinement vécues. Même si ce n’est pas forcément agréable, ça fait partie de la vie.

La colère survient souvent lorsqu’il y a un franchissement de limites (par soi-même ou d’une autre personne) et qu’un ou plusieurs besoins ne sont pas satisfaits. Il peut s’agir d’un besoin :

• d’écoute,
• de justice,
• d’équité,
• de réparation,
• de changement,
• d’appartenance,
• d’intégrité,
• de respect,
• de considération…

Voici comment vous pouvez évacuer sainement toutes les tensions provoquées par votre colère, en attendant de pouvoir trouver la solution à votre situation et de répondre au besoin en question.

1. Isolez-vous et faites une pause en respirant profondément ;
2. Écrivez tout ce que vous ressentez et ce que vous avez besoin de dire ;
3. Bougez, dansez, sautez, défoulez-vous au point de bien transpirer ;
4. Malaxez un objet ou tapez dans un punching-ball ou un oreiller ;
5. Criez de toutes vos forces (dans un oreiller ou en pleine nature).

Les poumons et la tristesse

En médecine traditionnelle chinoise, les poumons sont rattachés à l’émotion de la tristesse. Cela implique qu’une tristesse ressentie de manière chronique pourra altérer le bon fonctionnement de vos poumons. Aussi, des poumons qui ont tendance à être surchargés et surmenés pourront favoriser les états de tristesse.

Les poumons font également partie des organes émonctoires, donc en charge de l’élimination des toxines. Une surcharge à ce niveau peut donc induire des états de tristesse.

Je précise que ce ne sont pas des choses prouvées scientifiquement dans la mesure où il y a encore beaucoup d’ombres sur la partie psychosomatique. On sait que ça existe, il y a beaucoup de chercheurs qui ont prouvé ce lien entre les émotions, le psychique, et le corps. Par contre, ce phénomène directement lié de telle émotion avec tel organe, c’est quelque chose qui appartient à la médecine traditionnelle chinoise, avec des milliers d’années d’expérience, mais qui n’a pas été expliqué par la science. Chacun fait comme il le veut. De mon côté, par mes expériences et avec mes clientes je trouve que le lien est assez flagrant et ça ne trompe pas.

Malgré le fait qu’il n’y ait pas de preuve réelle, je vous renvoie tout de même à l’étude de 2014, précédemment citée, où l’on voit avec certaines émotions, que ça va s’accentuer sur tel organe ou telle zone du corps. Ces études-là confirment les données qui sont issues de la médecine traditionnelle chinoise.

Impact de la tristesse sur le corps

On constate une zone de chaleur qui se manifeste :

• au niveau thoracique,
• à hauteur des poumons,
• au niveau de la gorge,
• dans les yeux.

Je pense que vous avez déjà été triste dans votre vie. On ressent vraiment l’émotion dans la cage thoracique, mais surtout au niveau des yeux ! Qui n’a jamais eu cette sensation de boule dans la gorge et qui n’a jamais pleuré ? Tout ça, on le voit précisément dans cette étude.

Un froid s’installe dans le reste du corps. Le rouge correspond à la zone suractivée par l’émotion, et le bleu désigne les zones où l’activité est affaibli, ce qui montre un vrai déséquilibre d’énergie qu’il va falloir réajuster afin d’éviter toute forme de somatisation.

On voit à quel point une tristesse, si elle n’est pas libérée telle qu’elle devrait l’être, peut causer de nombreux préjudices.

Besoins et conseils en cas de tristesse

La tristesse survient suite à :

• un deuil, la perte d’une personne, d’une chose, d’une situation,
• une séparation,
• un changement difficile,
• à un manque affectif ou encore un échec.

Dans ces cas-là, on a des besoins à satisfaire :

• besoin de réconfort,
• de soutien,
• d’empathie,
• de compassion,
• d’aide,
• de consolation,
• de faire son deuil, etc.

Voici comment vous pouvez évacuer sainement toutes les tensions et déséquilibres provoqués par votre tristesse en attendant de pouvoir trouver la solution à votre situation et de répondre au besoin en question.

1. Pleurez sous une douche bien chaude, en vous laissant aller ;
2. Parlez à une personne de confiance qui saura vous écouter ;
3. Faites un câlin à une personne ou un animal que vous aimez fort ;
4. Mangez un repas réconfortant et votre dessert préféré.

J’insiste sur ce dernier point. Il ne faut pas culpabiliser lorsqu’on utilise la nourriture en guise de réconfort. De manière ponctuelle, il n’y a aucun mal dedans. Le problème, c’est lorsque c’est chronique, quotidien et qu’on ne sait pas pourquoi on agit comme cela. Il faut dissocier le réconfort du trouble du comportement alimentaire.

L’impact de la dépression sur le corps

La dépression découle de la tristesse, elle est donc aussi en lien avec les poumons en médecine traditionnelle chinoise.

Dans l’étude de 2014, on note une absence quasi totale de chaleur corporelle (le jaune et le orange). De plus, plus la couleur est bleu clair, plus les zones désignées ont une activité affaiblie. On constate donc un vrai manque d’énergie. Il est alors nécessaire de rééquilibrer le corps.

Lorsque j’étais face à une dépression en consultation ou actuellement via mon programme Happy Mind, je viens agir sur la santé pulmonaire. J’aime d’ailleurs utiliser le champignon cordyceps, qui est utilisé aussi bien pour les troubles pulmonaires que pour ses effets sur la dépression.

Une étude à venir

Paul Forsythe, professeur adjoint à la Faculté de médecine de l’Université de l’Alberta, va mener une recherche sur la connexion entre la santé des poumons et la santé mentale. Ce dernier affirme que l’idée d’un lien entre les poumons et le cerveau est vraiment sous-évaluée. Il pense même qu’il existe un cercle vicieux entre ces deux organes.

Par exemple, un stress psychologique peut aggraver les symptômes de l’asthme, et en retour, les gens souffrant d’asthme sont plus susceptibles de développer du stress psychologique, dont la dépression.

Il va donc étudier le lien entre les maladies pulmonaires et les troubles de l’humeur tels que l’anxiété ou la dépression. Ça promet d’être très intéressant !

Mon cas personnel

La dépression était une problématique chronique pour moi. Ma plus grosse dépression est certainement celle qui a succédé à mon burn-out, en 2019. Cependant, la tristesse était déjà là avant, mais elle s’est décuplée avec la dépression. Au moment où j’ai compris qu’il fallait que je fasse réellement mon deuil et que je fasse face à cet évènement, la dépression s’est alors manifestée.

En parallèle, j’enchainais depuis plusieurs années des problèmes d’asthme et d’allergies respiratoires, choses que je n’avais jamais eues de toute mon enfance ! C’est arrivé du jour au lendemain, « sans explication » à tel point que le médecin ne comprenait absolument pas.

Aussi, en 2021, j’ai eu un choc émotionnel. Suite à cela, j’ai développé une toux chronique importante, qui a duré un an !

Parfois, l’émotion vient fragiliser l’organe en question, mais il n’y a pas que ça. Il faut se rendre à l’évidence, il y a aussi d’autres facteurs, comme l’environnement, la pollution, l’hygiène de vie, la génétique etc.

Certains facteurs peuvent aussi avoir fragilisé les poumons. Par exemple dans mon cas c’était l’exposition aux moisissures dans mon ancien logement. Le choc émotionnel a ensuite déclenché cette « défaillance » au niveau de mes poumons. C’était même visible sur des radios. La toux était très forte et a duré jusqu’à ce que je travaille sur cet événement avec ma psy, ensuite elle a disparu complètement.

Mes astuces naturo pour soutenir les poumons

Les reins et la peur

En médecine traditionnelle chinoise, les reins sont rattachés à l’émotion de la peur. Une peur ressentie de manière chronique peut altérer le bon fonctionnement de vos reins. Aussi, des reins qui ont tendance à être surchargés et surmenés peuvent favoriser les états de peur.

L’impact de la peur sur ton corps

On constate ici qu’il n’y a pas de zone froide, mais toujours des zones chaudes, comme pour la colère. On ne peut pas savoir ici si la chaleur se situe à l’avant du corps ou plutôt dans le dos. La zone la plus chaude se situe au niveau haut, mais elle descend légèrement dans tout l’abdomen. Donc les reins peuvent être concernés mais ça peut aussi être d’autres organes, donc on ne sait pas avec certitude.

Cependant, au niveau des bras, des jambes et des pieds, c’est assez neutre.

On retrouve encore une fois ce déséquilibre au niveau de la chaleur du corps, lorsqu’on est face à la peur.

Besoins et conseils en cas de peur

La peur survient souvent lorsqu’on est face à une situation inconnue, ou face à un danger/une menace, ou encore lorsqu’on ne se sent pas en sécurité et qu’on a des besoins à satisfaire, comme :

• l’anticipation,
• la préparation,
• le fait d’être rassuré,
• la sécurité,
• la protection,
• l’aide…

Voici comment vous pouvez apaiser toutes les tensions provoquées par votre peur en attendant de pouvoir trouver la solution à votre situation et de répondre au besoin en question.

1. Mettez-vous dans un environnement sécurisé et apaisant
2. Emmitouflez-vous (votre dos y compris) avec un plaid bien chaud
3. Respirez calmement en visualisant une situation rassurante
4. Demandez-vous si c’est vous ou votre enfant intérieur qui a peur
5. Demandez de l’aide ou du soutien à une personne de confiance

Les astuces naturo pour soutenir les reins

Impact des émotions sur les organes : et l’anxiété ?

L’anxiété découle de la peur. En médecine chinoise, elle est connectée aux reins, et plus particulièrement à la vessie. Aussi, l’anxiété va avoir comme symbolique émotionnelle :

• l’insécurité,
• l’inconnu,
• le territoire.

Mais ce n’est pas tout ! L’anxiété n’est pas une peur classique comme une peur soudaine, mais plutôt une peur chronique, bien souvent associée à une peur de l’inconnu, qui mène à un sentiment de danger permanent, non identifié, et d’un manque de confiance par rapport à l’environnement.

L’expression « se faire pipi dessus »

Son lien avec les reins et la vessie nous permet de mieux comprendre l’expression « se faire pipi dessus ». Tout le monde a déjà entendu cette expression lorsqu’on est face à un danger ou que l’on a peur de faire quelque chose de nouveau.

Au-delà de l’expression, c’est une réalité pour les enfants anxieux de plus de 5 ans ou même certains adultes atteints d’énurésie (le fait de ne pas se contrôler et s’uriner dessus). Celle-ci est liée :

• au sentiment d’avoir perdu ce qui représente un espace de sécurité (comme un doudou),
• le fait d’avoir sa place dans le groupe, la famille (arrivée d’un frère ou une sœur)
• à une menace liée au territoire (changement de chambre, habitat).

D’ailleurs, on remarque aussi que les animaux territoriaux marquent leurs territoires en urinant lorsqu’ils ressentent un danger ou une menace.

Aussi, le Dr. Rena Malik, urologue, explique dans une interview de Men’s Health que la vessie a des récepteurs qui répondent spécifiquement à un des neurotransmetteurs émis par le cerveau en situation de stress : la corticolibérine. Elle déclenche des contractions de la vessie qui donne envie d’uriner et la sérotonine, l’hormone qui régule l’humeur, jouerait un rôle dans tout ça. Elle explique aussi que les gens qui ont une vessie hyperactive ont plus de chance de devenir anxieux dans les 10 années à venir…

Mon constat personnel

Pour ma part, à une période de ma vie où je me sentais comme menacée dans la place que j’avais dans la famille, je faisais énormément de cystites interstitielles. Celles-ci ne sont pas liées à une infection. C’est lié à une peur liée au territoire, aussi bien pour la place au sein d’un groupe, que pour le territoire réel (départ en voyage, déménagement, etc.).

L’estomac, les intestins et les émotions refoulées

La symbolique de l’estomac est la capacité à digérer émotionnellement et à accepter ou non des situations ou des idées. Les intestins reflètent la capacité à retenir ou à laisser aller certaines émotions, sentiments, évènements ou pensées. L’état de votre système digestif peut refléter l’état de votre capacité à accueillir, accepter et à laisser aller, qu’il s’agisse d’émotions ou d’évènements, des pensées, etc.

Les différentes émotions au niveau des intestins

La science a largement prouvé le lien qui existe entre le cerveau et les intestins. Ainsi, on peut en déduire que le lien entre les émotions et le ventre n’est pas si insensé !

En médecine traditionnelle chinoise, les émotions refoulées peuvent provoquer diverses tensions et blocages au niveau de l’abdomen.

⇒ Pour en savoir plus sur le lien entre le cerveau et les intestins, c’est par ici.

La zone sous le creux au niveau des côtes, va être liée à l’anxiété, à l’impatience. La partie haute, sous la cote droite, représente la colère et la frustration dans la mesure où c’est la zone du foie. Puis, en haut à gauche, sous la cote, tout ce qui va être lié à la rumination, aux soucis, c’est la zone du pancréas et de la rate. Ensuite, de part et d’autre de votre nombril, donc sur les côtés, vous avez tout ce qui concerne la tristesse, le chagrin ; c’est la zone des poumons. Toute la partie basse, en dessous du nombril, mais aussi au niveau du bassin, droite et gauche, on va avoir ce qui est lié à la peur, aux angoisses, de manière générale, aux reins.

Conseils en cas d’émotions refoulées

La première chose à faire est d’agir sur le plan mental quand cela est possible :

1. Écrivez tout ce que vous ressentez sur un papier ou votre téléphone
2. Essayez d’identifier les émotions concernées
3. Regardez les besoins qui sont cachés derrière celles-ci
4. Accueillez-les, et trouvez comment vous pouvez les satisfaire

Mais si cela dure depuis trop longtemps ou que vous avez du mal à identifier vos émotions, vous pouvez aussi agir directement sur votre ventre pour vous aider à libérer les tensions émotionnelles (grâce au massage Chi Nei Tsang notamment), en plus d’un accompagnement psy pour vous aider à écouter, accepter et combler vos émotions au quotidien.

Rappelez-vous que vos émotions vous font passer un message important sur vos besoins, ce sont vos alliées et non vos ennemies.

Mes astuces naturo pour soutenir l’estomac et les intestins

Impact des émotions sur les organes : on récapitule

Je vous propose ce petit récapitulatif des liens qui existent en médecine chinoise entre les émotions et les organes.

• La tristesse = les poumons
• La colère = le foie
• La peur = les reins
• La rumination = la rate
• La non-acceptation = l’estomac
• La frustration = la vésicule biliaire et foie
• Les émotions refoulées = l’intestin grêle
• Le fait de vouloir tout contrôler = le cerveau et le côlon
• La haine, la jalousie et la joie = le cœur

Le saviez-vous ?

Le bonheur, l’optimisme et la confiance en soi permettent d’améliorer votre santé ! Et c’est la raison pour laquelle j’aime beaucoup cette citation :

« J’ai décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé »

– Voltaire

En effet, il est prouvé que :

• Les personnes plus optimistes vivent plus longtemps. Optimiste ne veut pas dire toujours joyeux, mais en capacité de trouver des solutions et rester confiant face aux difficultés.
• Les personnes plus heureuses ont tendance à avoir un régime alimentaire plus sain. En plus, on sait déjà à quel point cela a un impact important sur la santé.
• Le bonheur rend le système immunitaire plus fort. C’est tout de même très important pour mieux résister aux infections.
• La confiance en soi permet de mieux gérer le stress. Aussi, une bonne capacité d’adaptation face aux sources de stress, c’est une des clés pour une pleine santé.

Les effets du bonheur sur votre corps

Lorsqu’on regarde les énergies du corps face au bonheur, elles se situent partout, c’est homogène, avec un petit peu plus de chaleur au niveau de la tête et thoracique, mais de manière générale c’est réparti. Le corps a ainsi plein d’énergie de vitalité.

J’espère que cet article sur l’impact des émotions sur les organes vous a plu. Nous avons pu voir que l’expression des émotions est très importante. Vous voyez qu’il est primordial de prendre soin de sa santé mentale afin de pouvoir ressentir ce bonheur au quotidien. Il est cependant tout à fait normal d’avoir des moments de colère ou de tristesse dans le quotidien. Le but est d’essayer d’être apaisé le plus possible, au quotidien pour une pleine santé.

Et si vous souhaitez aller plus loin au niveau des conseils que je peux vous donner, et avoir une méthode pas à pas pour retrouver un bon équilibre émotionnel et agir sur le psychosomatique il est temps de découvrir Oh Mind Gut.

Sources :

• “If you are happy and you know it… you may live longer”, David R. Topor, 16 October 2019
• “How Being Happy Makes You Healthier”, Daisy Coyle, 27 August 2017
• “Healthy diet”, World Health Organization, n.d.
•  https://www.who.int/initiatives/behealthy/healthy-diet
• « Raising Your Self Esteem for Stress Relief », Elizabeth Scott, 21 October 2020
• « Bodily Maps of emotions » publiée en 2014